C'est en effet l'endroit des plus grandes résistances.
Je sais c'est fou, mais bien que le bonheur soit ce que tout le monde recherche, le choisir activement en sachant qu'il est disponible est ce qui semble nous faire le plus peur.
C'est comme si choisir sa joie et en faire son expérience au quotidien relevait du blasphème !
Comme si cela allait nous couper du monde, de nos relations, des diverses façons du monde en osant être joyeux.
On comprend, bien sûr, les bases sur lesquelles sont fondées ces pensées et ces mises en gardes contre la joie. Ces refus d'être joyeux en fait.
La bonne nouvelle, c'est qu'en choisissant sa joie, en osant, on se rend compte que les résistances ne nous appartiennent pas. Elles sont un tissu de pensées collectives. Et on s'élève au-dessus uniquement en se positionnant . En usant de son libre choix. En sautant de lignes.
En faisant ceci, on peut voir et ne plus choisir plus facilement les pensées, les croyances qui forment cette résistance.

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